12/05/2010

L’ETAT CENTRAFRICAIN en tant que SYSTEME

L’administration centrafricaine, un meilleur partage du pouvoir exécutif


- 4 niveaux de pouvoirs et de décisions nettement séparés
- Meilleure lisibilité de la hiérarchie, de l'autorité
- 1 quête d'efficacité au service de chaque Centrafricain
- 1 contenu de chaque pouvoir à préciser le moment venu


L’évidence au secours d’un exécutif efficace

Dans le pacte présidentiel page 6 paragraphe1, le candidat ANGUIMATE Elois a pris soin de définir ce qu’est un pays ; cet ensemble de territoire, de population et d’Etat souverain et indépendant. Puis il s’est interrogé sur le principal handicap de notre pays qui n’est pas notre territoire, non plus notre population mais plutôt son mauvais fonctionnement.


C’est dire si la responsabilité de l’exécutif de mieux conceptualiser l’Etat en mettant en évidence ses structures, ses mécanismes de fonctionnement, ses missions et les outils qui lui permettent de réaliser les objectifs fixés pour ces missions, est grande voire indispensable.


Force est de constater que tous nos dirigeants ne se sont pas préoccupés de ce qu’il convient d’appeler « la gestion du détail ». Et c’est là que le candidat ANGUIMATE Elois marque toute sa différence avec les autres candidats. Présenter l’Etat Centrafricain comme un système d’organisation semble relever de l’évidence pour beaucoup d’entre nous ce qui justifie pour l’essentiel l’échec de la mise en œuvre des décisions publiques. Comme le dit un adage : ‘’on vend mieux ce qu’on connait’’



La réforme administrative de l’Etat centrafricain est la réforme des réformes du programme du candidat ANGUIMATE Elois. Elle prépare le terrain aux deux autres. Sinon comment identifier et répondre aux besoins de nos concitoyens si nous ne pouvons pas les fixer dans l’espace maitrisé de notre pays, ni connaitre leur nombre ou le lieu exact où nous pouvons les retrouver ou les protéger en cas de nécessité ? La réussite de tout projet de société en dépend.


A commencer par la compréhension de notre pays organisé en tant que système d’organisation. Mr ANGUIMATE Elois vous en propose un à 4 niveaux ce qui présage d’un fonctionnement efficace comme communément admis en théorie d’organisation parce qu’il y’a faible déperdition d’information ; mais surtout fixe le niveau des décisions et de la hiérarchie de ces décisions.



Enfin il détermine le nombre des collectivités territoriales et facilite la décentralisation intégrale pour un meilleur partage du pouvoir au service du peuple centrafricain dont le maillon fort est l’administration de proximité.



Cette décentralisation intégrale s’oppose à la décentralisation régionalisation qui demeure une centralisation (un des sujets à développer prochainement).




Elois ANGUIMATE

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